IT BEGINS WITH THE END
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

IT BEGINS WITH THE END


 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-17%
Le deal à ne pas rater :
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS + Cellular 44mm (plusieurs ...
249 € 299 €
Voir le deal

 

 CONTEXT ➜ Des abîmes je t'appelle.

Aller en bas 
AuteurMessage
E. Siejena Capoln

E. Siejena Capoln


Féminin CRÉDITS : © MYSELF / bloomyicons
AGE :
MOOD :
Date d'inscription : 02/01/2009
Nombre de messages : 1188

▬ MIROIR DU RISED ▬
FONCTION(S).: ♕ PROFESSEUR DE DCFM / Reine.
♦ CAMP: Ordre du Phoenix
CARNET DE RELATIONS.:

CONTEXT ➜ Des abîmes je t'appelle. Empty
MessageSujet: CONTEXT ➜ Des abîmes je t'appelle.   CONTEXT ➜ Des abîmes je t'appelle. Icon_minitimeSam 25 Déc - 18:15

it all ends here.
CONTEXT ➜ Des abîmes je t'appelle. 2qn8g0i

Citation :
« Personne ne nous croit mais moi, je vais vous dire la vérité afin que la mort de Cédric n'eut pas été vaine. Avec son lot de morts, et de terreurs. Fermez vos fenêtres. Verrouillez vos portes et priez Merlin. Ne vous croyez pas à l'abri, personne ne sera épargné. Voici venu le début de la fin chers amis, et il faudra se tenir prêt. Nous nous tiendrons comme la génération précédente, et nous lèverons nos baguettes pour exterminer ce mal qui tend à nous ronger, un par un. »
ALBUS DUMBLEDORE, DISCOURS DE 5ème ANNÉE.
4 JUILLET 1998, BUREAU DU DIRECTEUR DE HOGWARTS, 21h25.
    « Vous avez essayé de les contacter Albus ? », une voix, une porte s'ouvre. L'obscurité n'est pas que naissante, elle est glacée les dernières lueurs du crépuscule se sont éteintes. Le vieil homme a perdu de sa sagesse, il semble en colère, ses pupilles ne brillent plus d'un éclat de malice bleu. Il semble pour la première fois faire son âge. Pour la première fois, ses gestes sont lents, fatigués. Il s'arrache de la contemplation de la fenêtre pour poser son regard sur l'homme habillé de sombre en face de lui, la femme au chapeau pointu et au chignon serré, la blonde au sourire nerveux, le demi-géant et le reste des professeurs. Il esquisse un sourire.

    « Voyons Minerva, vous savez très bien que c'est stupide. Ils ne voudront jamais, ô grand jamais nous aider. Cette guerre est perdue d'avance je le crains.
    - Mais ils nous ont aidé par le passé !, s'exclame soudain la professeur de Métamorphose à bout de forces.
    - Elle nous a aidé, mais ce n'était pas eux. Il n'y a personne. Les marchombres...une race, un nom qui fait frissonner...ils sont d'une puissance telle que j'aurais grand mal à rivaliser avec eux. Ils bravent la mort et lui tournent le dos, sont ombre et poussière. Mais malgré leur sagesse, leur pouvoir, leur magnificense, ils ne se mêlent pas aux affaires des mortels. Il en sera toujours ainsi. Pour toujours et à jamais. », il marque une pause et hume l'air comme si sa vie en dépendait. Ses yeux sont devenus vitreux et ses doigts se déploient au rythme de son cœur. Il n'a jamais semblé si désemparé alors que l'Elu vient de mourir à peine une heure plus tôt.

    « Nous pouvons au moins essayer, fait la voix assise sur le siège, un verre de whisky pur-feu en main, professeur des potions, teint blafard.
    - Pour dire quoi Severus ? Sauvez nous ?
    - Oui. », il soupire, il n'a pas peur, il est juste fatigué, fatigué de tout, il sait parfaitement que Harry Potter n'aurait jamais été capable d'accomplir la tache seul. Mais il sait aussi que c'était le dernier espoir. Et que tout le monde croyait en lui.

    « Alors nous le ferons. Nous lèverons nos yeux apeurés et nos têtes ensanglantées vers eux en criant 'Sauvez nous'. », les membres du minuscule conseil hochent la tête et en silence sortent de la pièce. Albus redevient seul. Enfin, pas tout à fait. Deux ombres surgissent de son tapis et prennent rapidement forme humaine. Un grand et maigre homme, des rides dans le creux de ses paupières et des tempes grisonnantes. Un marchombre juge.

    « Et dans un murmure, nous te répondrons Albus... », le temps que Albus ouvre la bouche et il disparait déjà, par la porte. En silence.
Personne ne veut les croire, les pauvres fous de Hogwarts. Et pourtant tout le monde tremble, des tremblements dissimulés derrière des sourires aussi faux que les semblants qu'on tente de conserver. Il lui a fallu 10 ans mais il y est parvenu. Admettez-le, vous aussi, vous avez peur. Car ce n'est pas comme la dernière fois, n'est-ce-pas ? Vous sentez la brume glacée et vous savez qu'elle provient des détraqueurs revenus à leur véritable maître. Vous voyez les infrastructures tremblantes et vous comprenez que c'est l'œuvre des géants. Mais quelque chose d'autre se profile, il vous arrive de compter une ombre de trop ? Vous ne rêvez pas non. Alors que "l'Elu entame sa cinquième année, les Mangemorts peuvent trembler autant que l'Ordre car il se pourrait que ceux qui marchent dans l'Ombre se mêlent de nouveau aux affaires des humains. Cela faisait cinquante-trois que ce n'était pas arrivé, pas depuis 1945.
Revenir en haut Aller en bas
 
CONTEXT ➜ Des abîmes je t'appelle.
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
IT BEGINS WITH THE END :: ▬ OUR STORY BEGINS HERE ▬ :: MANDARINE & CO.-
Sauter vers: